samedi 28 août 2010

La légende de l'évolution humaine

Le sujet le plus souvent évoqué par les défenseurs de la théorie de l'évolution est celui de l'origine de l'homme. Les darwinistes prétendent que l'homme moderne d'aujourd'hui s'est développé à partir de quelques créatures qui ressemblent au singe. Pendant le prétendu processus évolutionniste, que l'on suppose avoir commencé voilà 4 à 5 millions d'années, il est affirmé qu'il a existé certaines "formes intermédiaires" entre l'homme moderne et ses ancêtres. Selon ce scénario complètement imaginaire, quatre "catégories" de base sont dénombrées:

1. L'Australopithèque

2. L'Homo habilis

3. L'Homo erectus

4. L'Homo sapiens

Les évolutionnistes appellent les prétendus premiers ancêtres des hommes, qui sont semblables aux singes, les "Australopithèques", ce qui signifie "singes sud-africains". Ces êtres vivants n'étaient en réalité rien d'autre qu'une vieille espèce de singe qui s'est éteinte. La vaste recherche faite sur des spécimens d'Australopithèque divers par deux anatomistes mondialement célèbres d'Angleterre et des Etats-Unis, Lord Solly Zuckerman et le professeur Charles Oxnard, a montré que ces espèces ont appartenu à une espèce de singe ordinaire qui s'est éteinte et n'avait aucune ressemblance avec les êtres humains.

Dans leur classification, les évolutionnistes attribuent le terme "homo", c'est-à-dire "l'homme", pour désigner l'étape suivante de l'évolution humaine. Selon eux, les êtres vivants appartenant aux catégories de l'Homo sont plus développés que ceux de l'Australopithèque. Les évolutionnistes conçoivent un schéma d'évolution imaginaire en organisant les différents fossiles de ces créatures selon un ordre particulier. Ce schéma est imaginaire parce qu'aucune relation évolutive entre ces différentes classes n'a jamais été prouvée. Ernest Mayr, un des principaux défenseurs de la théorie de l'évolution au 20ème siècle, l'admet en disant que "la chaîne remontant à l'Homo sapiens est en réalité perdue".

En schématisant la chaîne de liens de la façon suivante " Australopithèque > Homo habilis > Homo erectus > Homo sapiens " les évolutionnistes déduisent que chacune de ces espèces est l'ancêtre de la suivante. Mais les découvertes récentes des paléoanthropologues ont révélé que l'Australopithèque, l'Homo habilis et l'Homo erectus ont vécu dans différentes régions du monde à la même époque.

De plus, un certain segment des humains faisant partie de la classe des Homo erectus a vécu jusqu'à des périodes très récentes. L'homo sapiens neandarthalensis (l'homme de Neandertal) et l'Homo sapiens (l'homme moderne) ont coexisté dans la même région.

Cette situation indique apparemment l'impossibilité d'une lignée généalogique quelconque entre ces différentes classes. Stéphane Jay Gould, un paléontologue de l'Université de Harvard, explique l'impasse dans laquelle se trouve la théorie de l'évolution, bien qu'il soit lui-même un évolutionniste:

Qu'advient-il de notre échelle si trois lignées d'hominidés coexistent (l'Australopithèque africanus, l'Australopithèque robuste et l'Homo habilis) et qu'aucun ne provient clairement d'un autre? De plus, aucun des trois n'a montré de tendances évolutionnistes pendant leur existence sur terre.

Bref, le scénario de l'évolution humaine que l'on cherche à soutenir à l'aide de divers dessins de quelques créatures "mi-singe, mi-homme" paraissant dans les médias et les livres scolaires, c'est-à-dire au moyen d'une propagande éhontée, n'est qu'une légende sans fondement scientifique.

Lord Solly Zuckerman, un des scientifiques les plus célèbres et les plus respectés du Royaume-Uni, a effectué pendant des années des recherches sur ce sujet et a tout particulièrement étudié pendant 15 ans des fossiles d'Australopithèques. Il a finalement conclu, bien qu'il soit lui-même un évolutionniste, qu'il n'existe en réalité aucun arbre généalogique constitué de ramifications rattachant l'homme à des créatures semblables au singe.

Zuckerman a aussi établi un intéressant " spectre de la science ". Il a formé un spectre des sciences allant des disciplines qu'il considère comme scientifiques à celles qu'il considère comme non scientifiques. Selon le spectre de Zuckerman, les disciplines les plus "scientifiques", c'est-à-dire fondées sur une base de données concrètes, sont la chimie et la physique. Ensuite viennent les sciences biologiques puis les sciences sociales. A l'autre extrémité du spectre, qui est la partie considérée comme la "moins scientifique", se trouvent les perceptions extra-sensorielles, dont font partie la télépathie et "le sixième sens" – et enfin "l'évolution humaine". Zuckerman en explique le raisonnement:

Nous nous déplaçons alors directement du registre de la vérité objective dans ces champs de la science biologique présumée, comme la perception extra-sensorielle ou l'interprétation de l'histoire des fossiles humains, où pour le fidèle (évolutionniste) tout est possible, et où le partisan ardent (de l'évolution) est parfois capable de croire en même temps à plusieurs choses contradictoires.

La légende de l'évolution humaine ne repose que sur quelques interprétations préconçues à partir d'un certain nombre de fossiles déterrés par certaines personnes qui adhèrent aveuglément à leur théorie

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